(cliquer sur les photos pour les agrandir)
Au beau milieu se trouve le Pic du Midi d'Ossau, 2884 mètres, sa forme rappelle celle d'une dent (ces photos datent de début février).
Aujourd'hui, j'inaugure une nouvelle catégorie dans mon blog. J'ai longtemps hésité à introduire ce rajout, car mon humour n'est pas toujours au rendez-vous lorsque j'en ai besoin. Par contre, je constate qu'il s'exprime tout naturellement pour des occasions particulières... Alors, j'en profite pour le partager avec vous, en espérant que mon inspiration du moment vous fera sourire.
J'ai pris une grande inspiration et le parfum suave des arbres en fleurs m'a enivré. J'étais sur un nuage rose... loin de tout tracas.
Chaque année, le magnolia d'une de mes voisines teinte mon horizon de rose pastel. Quel arbre somptueux ! À chaque période de floraison, je ne peux pas m'empêcher de lui tirer le portrait (si j'ose dire !).
Il y a trente six façons de faire un cauchemar, comme par exemple, tomber dans un trou sans fond, être poursuivi par un fou furieux ou encore se perdre dans un labyrinthe. Et puis, plus rare, il existe un état qui se vit les yeux ouverts et en toute conscience. Celui-ci a une particularité, le corps se retrouve entièrement paralysé. Cette masse inerte allongée sur le lit ne répond plus à aucune sollicitation de notre part et provoque dans notre esprit une panique incontrôlable. Là-dessus vient se greffer une atmosphère pesante qui rappelle les pires films d'horreur. On veut crier pour obtenir de l'aide mais aucun son ne sort de la gorge. En réalité, on pousse un cri lugubre qui est entendu par toute la maisonnée... aaaaaaah ! Tout ceci est vécu comme une expérience cauchemardesque. Du point de vue médical, il ne s'agit pas d'un cauchemar, mais d'un trouble du sommeil qui se nomme "la paralysie du sommeil".