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Le 1er mai, le soleil et le ciel bleu m'ont fait sortir de la maison. Dès que je me suis retrouvée devant la porte d'entrée, le parfum de la glycine m'a submergé. Cetteatmosphère enivrante m'avidé l'esprit au point de me croire dans un autre monde… sans coronavirus. Une illusion bien sûr, mais l'instant était appréciable.