Il y a
quelques jours, mon rosier croulait sous le poids des roses. Certaines
étaient fanées et d'autres prêtes à s'ouvrir. Il ne me restait plus
qu'à prendre le sécateur et à couper celles qui étaient flétries. Leur parfum
était plus épais, presque palpable, il s'accordait parfaitement avec la douceur
de velours des pétales. En regardant ces photos, ce parfum me revient en
mémoire.