Le soleil était là, mais l'air était frais. L'APN à la main j'attendais gentiment sur mon balcon que quelque chose se passe. Un instant plus tard, un couple de tourterelles est venu se poser sur une branche d'arbre. Souvent, je rentre bredouille, mais j'aime bien tenter ma chance... ça me change les idées ! Les actualités sont déprimantes.

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                                                           Quel ensemble !

 «Quelquefois, il y a des sympathies si réelles que, se rencontrant pour la première fois, on semble se retrouver». Alfred de Musset 

Chaque nouvelle année, je fais un peu de vide dans mon ordinateur, une façon comme une autre de commencer la nouvelle année. C'est un moment que j'apprécie particulièrement, parce que je fais souvent  d'étonnantes découvertes, mais surtout, je me vide la tête par la même occasion.

La photo ci-dessus date de 2020, elle a atterri dans le dossier "Expériences à revoir". Celle-ci était axée sur le "flou de bougé" (ou "bougé intentionnel"), en vue d'un rendu artistique. À l'époque, je n'ai pas dû apprécier le résultat pour que cette photo reste dans l'oubli jusqu'à aujourd'hui !

Morale de l'histoire, ne jetez pas vos photos parce qu'elles ne ressemblent pas à ce que vous vous attendiez à voir. Laissez passer un peu du temps, car avec du recul  et  un regard nouveau, notre vision des choses change.

Visiteuses, visiteurs, blogueuses, blogueurs, je vous présente mes meilleurs vœux pour l'année 2022, surtout, une bonne santé pour que vous puissiez apprécier chaque jour qui passe.

Retour en arrière ! Les photos c'est fait pour ça ! Depuis plusieurs jours, le froid s'est installé, il fait sombre toute la journée et il pleut sans arrêt.

J'avais envie de voir une autre couleur que du gris et profiter encore de cette lumière qui embélit tout.
Comme aimait le rappeler ma mère, faisant référence à un poème appris à l'école, "Hiver, vous n'êtes qu'un vilain", (Charles d'Orléans 1394-1465). Elle disait aussi, "Après la pluie (vient) le beau temps", proverbe français !

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Delosperma

Bourdon sur un delosperma

Gros plan sur un bourdon en plein travail de dégustation 

L'automne est là, ça ne fait aucun doute, certaines feuilles jaunissent  d'autres rougissent, chaque jour apporte son lot de couleurs.
Mes photos d'aujourd'hui représentent le feuillage coloré du bambou sacré (Nandina). Il faut dire qu'il n'a pas besoin de l'automne pour prendre des couleurs, il porte presque en permanence des teintes chaudes et flamboyantes. J'en ai tout autour de la maison... ou presque.

Mon regard a été attiré par la malformation d'une de ses feuilles, je l'ai trouvé originale sous cette forme irrégulière et bombée. Peut-être un parasite qui a freiné sa croissance ? Elle était la seule dans ce cas... pourquoi, mystère ? Une chose est sûre, elle m'a donné l'occasion de la regarder de plus près et d'en faire le sujet de mon article.

Là, je me suis fait un petit plaisir, parce que c'est amusant de faire des expériences (High Key). 

Idem pour celle-ci (Low Key). 

                               
En faisant du jardinage, je suis tombée sur cette petite bête qui ne me disait rien de bon. Sa forme et sa couleur ne m'inspiraient pas confiance
Comme je suis curieuse, je l'ai placé délicatement dans une boîte prévue à cet effet, en attendant de me renseigner à son sujet. J'ai acheté la  boîte en question à Noël au rayon jouets. Il y avait tous les accessoires nécessaires pour étudier de près les insectes rampants ou volants, avant de les relâcher.

J'ai feuilleté mon livre sur les insectes et j'ai fini par découvrir la représentation de la bestiole. Il s'agissait d'une larve de coccinelle.
À cet instant, je me suis souvenue du billet que j'avais vu au mois de mars sur le blog de "pouty88", sur cette même plateforme. Elle en avait fait un élevage pour protéger son jardin des pucerons. En cliquant "ici" vous arriverez directement sur son article.

Ce billet m'a été inspiré par la coccinelle que j'ai trouvée ce matin sur un bouton de rose.  Aujourd'hui, je suis bien contente qu'elle fasse partie des habitants de mon jardin, les pucerons n'auront qu'à bien se tenir. Maintenant, il ne me reste plus qu'à trouver un prédateur pour faire disparaître les limaces qui dévorent mes marguerites.

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